OnePlus 7, analyse et expérience après un mois d'utilisation

OnePlus flirte avec le haut de gamme depuis plusieurs générations, il a commencé par une déclaration de guerre avec son soi-disant «tueur phare»; mais peu à peu il est devenu ce qu'il s'est juré de détruire. Le pari pour cette année est le OnePlus 7 Pro, un terminal dont l'ensemble technique est à la hauteur du haut de gamme à un prix inférieur. Et cela pourrait rester là; mais à côté de ce terminal, il présentait un renouvellement plus modeste, le OnePlus 7.

Modeste en innovation, car en termes de matériel, ils partagent la plupart de ses composants. Mais alors que le OnePlus 7 Pro s'engage à apporter des éléments du monde du jeu sur l'écran haut de gamme à 90 Hz, le OnePlus 7 se contente d'être une mise à jour du OnePlus 6T. Ou du moins c'est ce qu'il nous dit à première vue, mais le OnePlus 7 sera-t-il un terminal qui n'aspire qu'à améliorer son prédécesseur ou impliquera-t-il un changement majeur? Après l'avoir utilisé comme téléphone personnel pendant un mois, je vous raconte mon expérience dans cette analyse.

ONEPLUS 7,  CARACTÉRISTIQUES

Design: le sandwich classique haut de gamme

L'avant-garde du secteur de la téléphonie mobile se concentre sur le design, mais toujours avec la même matière première. Des matériaux qui fonctionnent à la main, tant pour les sensations qu'ils transmettent que pour leur qualité. Mais bien sûr, au final, nous avons toujours la même combinaison. Un sandwich mixte transportera la même chose où qu'il se trouve, et cela se produit avec le OnePlus 7; Sa structure en verre avec un cadre en aluminium est une valeur sûre, mais ce n'est pas la seule. C'est que même le design fonctionne contre cela, il ressemble forcément au OnePlus 6T et donc aussi au OnePlus 6 . Oui, il y a des détails qui nous permettent de les distinguer, mais à première vue, il s'agit du même téléphone.

Façade presque tout écran, cadres réduits dans toutes les directions et avec l'inclusion d'une encoche en forme de goutte qui envahit la partie supérieure de l'écran. Dans ce domaine, il y a aussi la première différence avec ses prédécesseurs, une grande grille où est logé l'écouteur pour les appels qui fonctionne également comme un haut-parleur avant. L'écran conserve en revanche la même taille que celui du OnePlus 6T, 6,41 pouces avec une résolution conservatrice: Full HD +. En inspectant la moitié de ce sandwich, on trouve la partie métallique de l'ensemble, en particulier l'aluminium avec une finition brillante.

Dans ce châssis métallique sont intégrés les différents boutons, sur le côté droit le déverrouillage et juste au-dessus du curseur d'alerte. Ce switch, pour les nouveaux, sert à basculer entre les différents modes sonores (son, vibration et silence) clairement inspirés de celui porté par les terminaux Apple, il est devenu une marque de fabrique des smartphones de la firme asiatique. Le côté opposé abrite le bouton de contrôle du volume avec le plateau pour le double NanoSIM. Le cadre inférieur est l'endroit où nous trouverons le port USB C 3.1 au milieu du microphone pour les appels et le deuxième haut-parleur. Non, il n'y a pas de prise casque. OnePlus a rejoint la tendance de se passer de ce port et ne semble pas changer d'avis.

Le dos arbore une finition grisâtre brillante, qui selon la façon dont la lumière tombe, peut donner l'impression d'être d'un bleu très foncé, presque noir. Ce fond en verre bombé sur ses côtés pour favoriser l'ergonomie est un aimant pour les empreintes digitales, à cela s'ajoute également son obsession de respecter les lois de la gravité. Le OnePlus 7 est glissant , et il semble que l'entreprise elle-même le sache, ils incluent donc un couvercle à l'intérieur de la boîte, un détail qui est apprécié.

Le OnePlus 7 n'est pas un gros terminal, en termes de taille il est bien réalisé. Il se trouve à une certaine distance de terminaux plus gros tels que le OnePlus 7 Pro, mais aussi de terminaux compacts tels que le Samsung Galaxy S10e. Au final, ce qui compte, ce sont les sensations en main. Et, c'est qu'en main il se sent solide, robuste et bien construit . Mais c'est toujours le même que ce que nous avons déjà vu dans la génération passée, c'est sobre et continu; un design pour ceux qui ne veulent pas attirer l'attention , à tel point qu'il n'y a qu'une seule couleur disponible (en Espagne du moins).

Section multimédia: un son de qualité avec un écran conforme

Si quelque chose fonctionne, pourquoi le changer? Cela a dû être les ingénieurs OnePlus lors de la conception de l'avant de ce terminal. L'essence même de l'innovation et la main-d'œuvre pour la réaliser ont été concentrées sur le OnePlus 7 Pro . Le résultat que beaucoup d'entre nous connaissent déjà est un écran qui occupe presque tout le front avec un taux de rafraîchissement de 90 hertz et fait un pas en avant en termes de résolution, étant le premier terminal de la société à avoir un panneau QuadHD +.

Dans le OnePlus 7, nous ne verrons rien de tout cela, ni un écran incurvé avec presque pas d'images, ni 90 hertz, ni qui sautent dans la résolution. Au contraire, nous avons un panel continu et que sans OnePlus l'ayant confirmé, il semble identique au OnePlus 6T. Ils mesurent 6,41 pouces avec la technologie AMOLED, un rapport 19,5: 9 et une résolution de 1080 x 2340 pixels ou Full HD + . Avec un revêtement Gorilla Glas 6 pour le protéger des rayures et des chutes éventuelles, fini en verre 2.5D dans les coins favorisant l'esthétique car il semble que le verre fond avec le métal.

Profitant de 85,5% de la façade et avec une densité de pixels plus qu'acceptable, 415 pixels par pouce, c'est un écran visible. Il n'atteint pas les quotas d'excellence de l'écran OnePlus 7 Pro, mais il reste un cran au-dessus de celui du OnePlus 6T . Cette étape est une section comme la luminosité du terminal, en extérieur la luminosité automatique répond bien et sans avoir à la régler au maximum, elle nous permet d'apercevoir le contenu que nous avons à l'écran. Il est possible et probable que cette luminosité soit suffisante dans la plupart des endroits , mais si vous vivez dans un endroit où le soleil brille plus intensément, il serait préférable d'opter pour un terminal qui commence à 600 nits.

C'est toujours un écran bien résolu. Oui, vous manquez cette définition supplémentaire qui offre une résolution plus élevée ou les 90 hertz du OnePlus 7 Pro - ceux qui l'ont eu en main comprendront - C'est un écran avec un niveau de détail acceptable et qui permet de naviguer, lire ou consommer du contenu sans que nous devons forcer visuellement. Le calibrage des couleurs, des nuances et de leur représentation est plus que réalisé. De plus, dans le cas de vouloir configurer en fonction de nos préférences personnelles, OnePlus propose trois modes de couleurs: intense, nature et avancé.Dans ce dernier, nous avons trois autres modes: couleurs AMOLED, sRGB et Display-P3. Changer le ton en plus froid (tons bleus) ou plus chaud (tons jaunes) est à deux pas grâce au curseur que nous fournit OxygenOS.

Personnellement, la configuration des couleurs que nous aimons le plus est les couleurs AMOLED dans la section avancée et a modifié la tonalité pour obtenir une couleur blanche plus proche de la réalité et pas si jaunâtre. Il faut parler de l'encoche, nous sommes déjà plus qu'habitués à cette péninsule sur nos écrans, en forme de goutte et s'interrompant dans la partie supérieure. Grâce au logiciel nous pourrons masquer cette encoche, les icônes occuperont cette zone désormais teintée de noir, donc son utilisation est bonne. Si vous venez d'un terminal sans encoche, cela peut sembler une option attrayante, mais au final cela fait la même chose que d'avoir le cadre noir qui entoure la caméra visible.

Le son, faute de port casque, on pouvait s'attendre à ce que cette section passe sans douleur ni gloire. Au contraire, OnePlus a écouté ses utilisateurs. Dans le OnePlus 7 il y a deux haut - parleurs , le premier conçu pour nous offrir le son directement et donc situé dans la grande calandre en haut de l'avant, le second dans une position plus conventionnelle: à la base du terminal à côté du Port USB C et microphone. Ce n'est peut-être rien de nouveau si vous êtes habitué aux doubles haut-parleurs frontaux comme le Google Pixel 3XL, mais c'est la première fois que OnePlus décide de parier sur une amélioration notable du son.

Cette amélioration va de pair avec la certification Dolby Atmos , qui améliore l'expérience d'un son stéréo déjà puissant. En augmentant progressivement le niveau de volume, nous sommes en mesure de percevoir les nuances dans les notes sans qu'elles perdent en définition et en corps du fait de l'augmentation du volume. Parce que le OnePlus 7 sonne et sonne fort. A puissance maximale il n'a rien à envier à mon Google Pixel 2 XL, j'oserais même dire qu'il a plus de puissance et un meilleur son. La distorsion est pratiquement nulle ou imperceptible pour les oreilles inexpérimentées , la large plage dynamique permet des basses puissantes sans oublier des aigus précis.

Revenant à la certification Dolby Atmos, il offre des options quant à la façon dont nous voulons la réponse sonore du OnePlus 7 . Avec trois options, quatre si l'on compte sa désactivation complète, qui bien que n'ayant pas de changement drastique si l'on passe de l'une à l'autre en écoutant de la musique, ils amènent l'utilisateur à choisir celui qui est le plus approprié pour le moment ou celui qu'il préfère. Dynamique, l'option prédéfinie et avec un réglage plus général pour que peu importe le genre de musique que nous écoutons, il a de bons graves, des aigus et une netteté. Film, un effet plus «cinématographique» obtenu à l'aide de la réverbération et donnant plus de corps à l'ensemble du son. Musique, plus de nuances pour apprécier les différents instruments et notes jouées.

Ces options, présentes dans la section son, sont destinées à la fois aux haut-parleurs et au casque. Dans ce dernier, nous avons une autre section de personnalisation, elle est activée une fois que l'on connecte le casque et elle est en "mode casque". Voici trois autres paramètres: équilibré, chaud et nuancé. Le premier n'est pas un changement substantiel par rapport à l'audio standard, et seules les oreilles entraînées peuvent être capables d'entendre l'amélioration supposée. Le second améliore encore plus la plage dynamique et une autre nuance selon que les notes sont plus basses ou plus hautes. Le troisième et dernier, à mes oreilles, il me semble qu'il est à cheval entre les deux premiers. Il y a une amélioration, ou du moins un changement, mais rien de trop remarquable pour le faire ressortir.

OnePlus a mis les batteries et surtout, a écouté ses utilisateurs. L'écran n'est pas à la hauteur de son grand frère , une pincée de netteté et de luminosité serait utile, s'il avait également un taux de rafraîchissement supérieur à 60 hertz ce serait un luxe dans sa gamme. Le son, en revanche, ne présente aucun inconvénient , avec suffisamment de puissance et de clarté, le OnePlus 7 offre une expérience d'écoute remarquable. Le répréhensible pourrait être l'exclusion du port casque et, surtout, ne pas inclure un adaptateur dans la boîte.

Des performances qui ne sont pas surprenantes

Une section dans laquelle OnePlus s'est toujours démarqué, depuis sa création, il a opté pour le pouvoir. Avec le OnePlus 7, cette fonctionnalité demeure. Il n'a pas grand-chose à envier à son grand frère ou à tout produit phare de la compétition. À l'intérieur se trouve la recette gagnante de ce premier semestre: le processeur Qualcomm Snapdragon 855 avec 8 Go de RAM et 256 Go de stockage. Il existe également une version plus modeste qui voit sa mémoire RAM et son stockage réduits respectivement à 6 Go et 128 Go. Un stockage non extensible dont la plus grande vertu est le type de mémoire utilisée. OnePlus fait le grand saut et rejoint le club UFS, plus précisément l'UFS 3.0; avec des vitesses de lecture et d'écriture supérieures à celles observées dans les mémoires eMMC.

Entonces, ¿cómo se comporta el OnePlus 7? Pues vuela, y no literalmente, pero la fluidez y rapidez a la hora de responder a los comandos del usuario es destable. Aunque, no sorprende. Lo extraño sería que con esta retahíla de ingredientes la ejecución del plato no estuviese a la altura, pero OnePlus sabe hacer terminales. Es capaz de sacar el máximo partido a los ingredientes, aliñándolo todo con un software que promete y del que hablaremos más adelante.

En el día a día, con uso basado en saltar entre las diferentes redes sociales además de consumir contenido multimedia en streaming tanto de Netflix, YouTube o Spotify; el OnePlus 7 se ha comportado notablemente bien. No existen, al menos en mi experiencia, los lags, los cierres inesperados o los cuelgues a la hora de abrir aplicaciones y moverse entre ellas. Y si queremos llevarlo al límite, buscando y esperando que no sepa resolver bien lo que le pedimos, el OnePlus 7 saldrá del paso airoso. Los juegos como Fortnite, PUBG o Legends se mueven a una tasa de fotogramas solvente y a la máxima calidad gráfica. La Adreno 640 responde bien a las tareas gráficas más exigentes. Además, las temperaturas consiguen mantenerse en unas cifras usables y sin ser desagradable mantener el teléfono en la mano. Eso sí, las zonas de la cámara trasera y el borde superior son las que más sufren este aumento de temperatura.

A este derroche de potencia le acompaña una batería de 3.700 mAh. Si bien por diseño, tamaño y formato podríamos haber esperado unos 300 mAh extra, llegando a alcanzar a la cifra de su hermano mayor. Se habría aumentado el peso y el grosor, aunque creo que pocos usuarios tendrían queja a cambio de mejorar la autonomía y conseguir que el modulo de cámara sobresalga algo menos. Pero no os equivoquéis, la autonomía no es mala. Dependiendo de la jornada y teniendo en cuenta que mi uso es bastante intenso, he llegado al final del día con un 15% de batería restante. Eso sí, si a lo largo de nuestra jornada echamos alguna partida a juegos es posible que tengamos que pasar por el cargador. Y de ser así, la carga rápida hace muy bien su trabajo. No son los 30 vatios de la Warp Charge, pero tampoco está muy lejos, son 20 vatios capaces de cargar el terminal desde el 0% al 100% en menos de hora y media.

En lo que a la conectividad de se refiere, ninguna sorpresa. Todas las conexiones básicas pensables: NFC, Bluetooth 5.0, USB C 3.1, etcétera. Lo que si tenemos son carencias, su trasera de cristal no es un indicativo de soportar ningún tipo de carga inalámbrica y como adelantábamos en el apartado del diseño, prescinde del puerto jack de 3.5 milímetros. La resistencia al agua es un tema complejo en la serie 7 de OnePlus, no llevan certificaciones IP de ningún tipo. Aunque la propia OnePlus explicó que, en el proceso de fabricación de los terminales, se realizaron pruebas internas para ofrecer cierta seguridad ante salpicaduras accidentales. La certificación IP tampoco garantiza que la empresa se haga cargo de la posible reparación por humedad, mantened el agua lejos de vuestros smartphones.

OxygenOS, lo mejor de Android Stock con añadidos que mejoran la experiencia

La capa de personalización de OnePlus ha llegado a unas cuotas de excelencia, superando la experiencia completamente stock que podría ofrecer un terminal de Google. Es posible que los puristas no coincidan conmigo, pero recuerdo que mi teléfono personal es un made by Google. OxygenOS ha conseguido llegar a lo más alto puliendo su rendimiento, no es la misma capa que llegaba con el OnePlus 2. El bloatware es inexistente o mínimo, tenemos las típicas aplicaciones de Google (podemos inhabilitarlas) y alguna que otra aplicación propia de OnePlus que añade funcionalidad. Lo más curioso es que traiga Netflix instalado de serie, pero también podemos desinstalarla si no usamos este servicio.

Entrar en detalle y contar todas las características de OxygenOS sería alargar este análisis, en su lugar hablaré de manera general acerca del rendimiento y de las funcionalidades que he usado. En lo visual es una capa bien diseñada, los colores, tipografía y la disposición general está bien conseguida. Nos recuerda mucho a Android Stock, pero con una personalización que no encontramos en los terminales de Google. OxygenOS nos permite cambiar el tipo de letra, el tema del terminal (claro-oscuro), color de los iconos, botonera, gestos y un largo etcétera de opciones. Podemos adaptar la interfaz casi en su totalidad a nuestro gusto, incluso el Launcher nos permite cambiar la cantidad de iconos a mostrar.

Dentro de este Launcher, la pantalla principal es sencilla, con iconos, carpetas y gestos para bajar la cortina de notificaciones o desplegar el cajón de aplicaciones. Otro gesto, arrastrar hacia la derecha abrirá un submenú llamado Shelf, aquí como si un centro de control se tratase podemos abrir aplicaciones de uso rápido (calculadora, calendario, reloj) o incluir las que queramos nosotros. Tiene bastante que ofrecer y es útil en muchos casos, pero en lo personal no lo he usado tanto como pensé en un primer momento. Al hilo de esto, una característica que si he usado bastante son los gestos, tanto los de navegación como los que se realizan con la pantalla apagada.

Los gestos de navegación están conseguidos, son fáciles de usar y la curva de aprendizaje no es demasiado elevada. En el caso de no convencernos, siempre tendremos la botonera clásica de Android -podremos invertirla- o el amalgama de botones más gesto de Android Pie. En mi uso he prescindido de la botonera, al no ser un terminal excesivamente grande los gestos son cómodos de usar. Con la pantalla apagada también tenemos unos gestos, no para navegar por el terminal, si no para activar la linterna, cambiar de canción, lanzar la aplicación de la cámara y un par más al juego de los ya mencionados. Son útiles en muchas situaciones, evitan que tengamos que desbloquear el terminal y nos ahorran tiempo.

OxygenOS integra también modos específicos, Modo Zen y el Modo Fnatic, son antagónicos. El primero pretende que nos alejemos del terminal, que nos paremos a oler las rosas del camino y no estemos centrados en la pantalla de nuestro dispositivo. Lo consigue mediante el bloqueo de todas las funcionalidades a excepción de las básicas: llamadas de emergencia. El segundo quiere que nos centremos en el juego que tenemos en pantalla, las notificaciones desaparecen y mediante el software se centrar los recursos en mejorar la experiencia de juego. Ambos hacen su función bien, aunque me he visto usando más el segundo que el primero.

Otra opción interesante es la capacidad de duplicar aplicaciones, funcionalidad vista en terminales de Xiaomi, nos permite tener diferentes cuentas de una misma aplicación. La versión de Android debajo de esta capa de personalización es Pie y llegará más que seguro al futuro Android Q. Además, OnePlus tiende a enviar actualizaciones a sus terminales periódicamente, tanto así que durante el tiempo que he pasado con el OnePlus 7 he recibido dos. Han mejorado el apartado de la cámara y la estabilidad general, ya de por si muy buena, sin duda es una compañía que mima a sus usuarios en este aspecto.

Seguridad: biometría precisa, correcta y funcional

Escondido en la pantalla encontramos el lector de huellas óptico y con un buen funcionamiento. La superficie de actuación se ha ampliado, esto facilita el desbloqueo al no tener que ser tan precisa la colocación del dedo a la hora del desbloqueo. Y una vez colocado el dedo, el desbloqueo es rápido. No es instantáneo, pero la espera para acceder a la pantalla es mínima pese a tener una animación bastante vistosa (la podemos cambiar o desactivar) Eso sí, la zona en la que apoyamos el dedo ha de estar iluminada, si la pantalla está completamente apagada el teléfono no se va a desbloquear. OnePlus soluciona esto tirando de software, al levantar el teléfono se activa la pantalla ambiente con la zona iluminada y lo mismo ocurre si le damos un doble toque a la pantalla.

De no convencernos el lector en pantalla, podemos optar a un desbloqueo facial. No usa una cámara o un sensor dedicado al escaneo facial, la cámara frontal es la que se dedica a esta función. La seguridad sería el punto en su contra, al no hacer un escaneo tridimensional una foto podría desbloquear el móvil, aunque lo he intentado y no ha ocurrido. Es un desbloqueo rápido y prácticamente instantáneo, no tenemos que mirar al terminal en un determinado angulo o acercarlo demasiado a nuestro rostro. En condiciones de poca luminosidad un fogonazo de luz nos iluminará la cara para poder desbloquear el móvil, es incomodo y recomiendo en esas situaciones utilizar la huella.

Cámaras: una evolución justa y nada arriesgada

La renovación en el apartado fotográfico llega a cuenta gotas, dos sensores traseros, pero nada de gran angular o lente teleobjetivo. El principal un sensor Sony IMX 586 de 48 megapíxeles que se agrupan en grupos de cuatro, dejándonos unos 12 megapíxeles para disparar, como añadidos estabilización óptica y electrónica, una apertura f/1.7. El segundo sensor es de 5 megapíxeles, apertura f/1.4 y píxeles de 1,12 micrómetros. Para la cámara frontal han optado por un sensor de 16 megapíxeles firmado por Sony, el IMX 471, su apertura es f/2.0.

Las capacidades de estas cámaras están por detrás de las de su hermano mayor, simplemente por montar dos sensores menos. Sí, en su trasera hay dos cámara. Pero esto no significa que la segunda añada una funcionalidad diferencial, está pensada para captar mejor información y hacer un efecto desenfoque más realista. No ofrece la versatilidad de un gran angular o el zoom de un teleobjetivo, su uso está destinado a acompañar más que a ser usado individualmente. Aparte de esto, podemos hacer casi lo mismo en el apartado fotográfico y en el de vídeo. La grabación a 4K y 60 fotogramas por segundo, cámara súper lenta en 1080p a 240 fps, modo panorámico, lapso de tiempo, modo pro, HDR, modo retrato y modo paisaje nocturno, todo se mantiene.

Hablemos de los resultados fotográficos, de día y siendo muy generales tenemos una cámara que cumple. Los niveles de detalle, la interpretación de los colores y el uso del HDR es bueno. El apartado del color es el que más cambio ha sufrido desde el inicio de este análisis, siendo demasiado planos al principio y que gracias a las actualizaciones han ganado en viveza. El HDR que comentábamos hace bien su trabajo en modo automático, decidiendo cuando no actuar. Si disparamos usando siempre el HDR tendremos fotos en las que las sombras y los contraluces han sido levantados, además de momentos en los que el color está demasiado saturado.

Izquierda sin HDR y derecha con HDR

De noche pasa lo de siempre, la estabilización óptica y la focal 1.7 no consiguen salvar la perdida de detalle y el aumento de ruido en las fotografías. Para evitar esto tenemos un modo especifico, Paisaje nocturno, consigue mejorar las fotografías de noche, aunque tiene un inconveniente, el movimiento. Es un modo usable en objetos o escenas sin movimiento, si existe la posibilidad de que algo o alguien se mueva, la fotografía resultante captara un borrón. Esto es porque aumenta el tiempo de exposición notablemente y el ISO lo mantiene a 0. Es útil, pero hay que saber cuando usarlo y tener un buen pulso o llevarnos un trípode. Existe un modo manual y con el tendremos acceso a los ajustes básicos (ISO, exposición, enfoque, balance de blancos, velocidad de obturación) que nos permitirán jugar más con cómo queremos la fotografía y, darnos un archivo RAW para la posterior edición.

Arriba normal, abajo modo Paisaje nocturno

En el frontal la cámara hace un trabajo aceptable, el enfoque y el resultado de las fotografías son buenos. En tema de color es posiblemente la cámara que más sufra, suelen salir menos vivos que en la trasera. Cuenta con las típicas funcionalidades de las cámaras para selfies: modo belleza, desenfoque, flash iluminando la pantalla, etc. Pasando al vídeo, en el frontal tiene un buen desempeño, pero se nota la falta de estabilización óptica. En la cámara trasera en cambio, la combinación de OIS y EIS consiguen eliminar los movimientos bruscos. Destaca la capacidad de grabar en 4K a 60 fps, la fluidez y el detalle es notable. Otra mejora son los micrófonos, ahora al grabar algún tipo de espectáculo el sonido de la grabación es audible, no hay pitidos y se pueden distinguir los instrumentos sin demasiado problema.

GALERÍA DE FOTOS DEL ONEPLUS 7

Os dejamos un link a la galería en Flickr, así podéis ver las fotos sin compresión.

OnePlus 7, conclusiones, precio y opinión

Siete son los terminales que OnePlus ha sacado al mercado, pese a llevar relativamente poco tiempo compitiendo ha conseguido hacerse con un publico fiel. Un publico capaz de cambiar de terminal, o al menos planteárselo, cada seis meses para tener el más nuevo presentado por la compañía. En este marco, el OnePlus 7 nos encaja perfectamente. Con una renovación en su interior a la altura, al menos en el apartado de potencia, con un sonido mejorado, con una experiencia de software sublime y unas cámaras que sin ser las mejores arrojan fotografías capaces. Es un terminal que no pretende revolucionar nada, se conforma con ofrecer una serie de ingredientes de calidad para dar como resultado final un sándwich mixto a la altura de cualquier plato de alta cocina.

La stratégie conformiste peut ne pas durer longtemps, mais en attendant, le OnePlus 7 offre «presque» la même chose que son grand frère . L'astuce à jouer est le prix, à partir de 560 euros et atteignant 610 euros dans sa version la plus avancée. Étant ses configurations 6 Go - 128 Go et 8 Go - 256 Go respectivement pour la RAM et le stockage. Cependant, nous ne pouvons rien leur reprocher, surtout lorsque nous avons leur pari le plus risqué sur le marché. Même si bien sûr, des rumeurs sur un renouvellement T de ses terminaux se font déjà entendre. Quoi qu'il en soit, le OnePlus 7 est une valeur sûre pour ceux qui sont capables de se conformer et pas tant pour ceux qui recherchent l'innovation.